Rapport de stage : La sobriété numérique pour réduire l’impact environnemental des universités : L’importance de la participation citoyenne.

Anne Mesguen

Anne Mesguen, étudiante en Master 2 Etudes européennes et internationales parcours Etude socio-politique de la globalisation durant l’année 2021-2022, a eu l’occasion de participer, dans le cadre de son stage, à l’organisation de la Convention Citoyenne Étudiante, organisée par l’Institut d’Études Politiques (IEP) de Fontainebleau et le Living Lab AlgoPo. Ce rapport de stage est le résultat de cette expérience.

 

Résumé :

A l’heure où limiter le réchauffement climatique à 1,5°C au-dessus du niveau préindustriel d’ici la fin du siècle semble de plus en plus compliqué, il devient pressant d’adopter des comportements de consommations plus sobres. Longtemps perçu comme salvateur, le secteur du numérique doit lui aussi opérer une mutation pour réduire ses émissions carbones qui augmentent pourtant de manière exponentielle. La question de la sobriété numérique se pose dans notre société, et notamment à l’échelle de l’université, qui après avoir connu la numérisation de ses structures, commence à s’emparer de cette question. Le numérique étant omniprésent, il convient d’aborder la sobriété numérique à l’université de manière systémique, du domaine de la recherche en passant par l’enseignement, et qui nécessite d’être discutée à travers une concertation citoyenne englobant tous les acteur.ice.s concernées. La Convention Citoyenne Etudiante en est une expérimentation.

Mots-clefs : Sobriété – numérique – université – concertation – participation